quinta-feira, 26 de janeiro de 2012

Entretien d' embauche

La première fois que l’on se retrouve face à un recruteur, la pression monte. Je vais vous raconter comment mon premier entretien s’est déroulé.

Arrivé là bas, on me fait patienter, puis une personne se présente à moi.Il me prie de le suivre dans le bureau et me demande de m’asseoir, avant  un sourire bienveillant aux lèvres. Puis il commence l’entretien.


Recruteur:

- Nous cherchons quelqu‘un qui n‘a pas peur du travail et n‘est jamais malade.

Moi:

- OK, engagez-moi, je vous aiderai à chercher.
 
Recruteur:
 
- Vous commencez lundi. Vous serez payé en fonction de vos prestations.
 
Moi:
 
- Désolé, mais je ne pourrais pas vivre de çà.
 

quarta-feira, 18 de janeiro de 2012

Après une longue période d’inactivité, l’envie me reprend de remettre au gout du jour mon ptit blog !

Tout d'abord
bonne année et bonne santé
 à vous chère lecteurs et lectrices.

Voila bien longtemps que je n'avais plus rien écrit dans mon blog. Mais aujourd'hui après un moment d'absence car très très occupé ;( entre  le boulot, les vacances, et les week ends où le soleil nous pousse à sortir, j’avoue avoir eu un peu de mal à tenir le rythme ! ),c'est le moment de m'y remettre.Mais n'allons pas trop vite en besogne,n'oubliez pas qu'içi c'est un blog de paresseux.

terça-feira, 27 de dezembro de 2011

Un peu de culture sur Noël

 Du latin natalis « natal, relatif à la naissance  », lequel a donné nael en ancien français (Natale en italien et Nadal en occitan) ; le "t" latin ayant subi un amuïssement (Fait de devenir muet, en parlant d'une lettre ou d'un son) progressif en "d" pour disparaitre. L’évolution de nael vers Noël (le tréma date du XVIIIe siècle) s’explique par la  des deux a de natalis. (Wikipédia)


Fête chrétienne commémorant la naissance de Jésus-Christ, le 25 décembre.

Dans l’ancien calendrier orthodoxe, encore en usage en Russie, Noël est célébrée au début de janvier.

Feliz Natal !

JOYEUX NOEL A TOUS !

quinta-feira, 22 de dezembro de 2011

Apologie de la paresse

Buller, glander, traîner, lézarder,quelle que soit l’étiquette qu’on leur colle, les moments de paresse, d’oisiveté, de glandouille totales sont suffisamment rares pour être à la fois précieux et délicieux.

Inutile de philosopher sur ce que signifie exactement l’art de ne rien faire : savoir si sentir l’herbe sous ses doigts c’est déjà faire quelque chose n’est pas le propos.

Ne rien faire peut prendre bien des formes : traîner au lit le matin, coincer la bulle à la terrasse d’un café, paresser un moment dans le jardin, s’étendre mollement sur le canapé et contempler le plafond, ne rien prévoir pendant une journée etc… à vous de voir ce que vous avez envie de mettre dessus.

Admettons qu’il s’agit ici de moments passés sans objectif autre que celui de ne rien faire de particulier, car la bulle décomplexée, l’oisiveté pensive, la paresse extatique, ça a du bon. Etrange bonheur que celui de n’avoir rien à raconter, rien à faire, personne à écouter, de se laisser aller à être totalement dans le présent et à s’émerveiller de ce qui nous entoure. Il ne reste plus que nos sens en éveil, qui attrapent ce dont ils ont envie, ce qui leur parle: un chant d’oiseau, une odeur, une image etc… une façon de faire le plein de vitamines mentales.

Un moment de paresse, c’est un petit cadeau fait à soi-même, C’est l’occasion de se retrouver en tête à tête avec soi-même, de faire preuve d’un peu de bienveillance envers soi et de découvrir quelle merveilleuse compagnie nous sommes,
S’autoriser à coincer la bulle sciemment, à se mettre les doigts de pieds en éventail pendant un instant, c’est reconnaître que notre temps est tellement précieux qu’il mérite qu’on le goûte. C’est aussi s’autoriser la rêverie,qui est bourrée de vertus enfin reconnues, en particulier pour la réflexion.

segunda-feira, 19 de dezembro de 2011

segunda-feira, 12 de dezembro de 2011

Vacances terminées

Je viens de passer deux merveilleuses semaines de vacances à me détendre et à faire tout ce qui me plaisait ( c'est à dire rien ). Mais, l’après-midi avance et je commence à éprouver un sentiment d’anxiété. Mon enthousiasme se dissipe lentement et je prévoie déjà le rythme fou de ma première journée de travail. Il me faudra dire adieu à la détente.

On se sent toujours un peu déprimée et déboussolée de revenir au travail après les vacances et c’est tout à fait normal. Il est souvent difficile de reprendre le rythme accéléré de la vie professionnelle après avoir fait la dolce vita au soleil. Plus le temps d’absence est long, plus le retour à la réalité est brutal. Tout le monde doit passer par là mais certains s’en sortent mieux que d’autres. Vous vous demandez comment ils font? C’est bien simple. Tout est dans l’attitude que vous adoptez et dans votre façon de faire face à la situation.

L'idée serait de:

Supprimer le premier jour de travail après les vacances.